lundi 9 mai 2011

Coca-Cola fête son 125e anniversaire !

C'est samedi le 7 mai que Coca-Cola a célébrer son 125e anniversaire en organisant une multitude d'activités à travers le monde. Au Canada, plusieurs concerts gratuits ont été présenté à Montréal, Toronto et Vancouver. Le groupe Duke Squad c'est produit dans notre métropole tandis que le célèbre rappeur Kardinal Offishall a monté sur scène à Toronto au grand bonheur des fans et c'est le nouveau groupe pop These Kids Wear Crown qui a fêter à Vancouver!




À Montréal, la fête a débuté en après-midi vers 18 heures en plein centre-ville, à l'intersection du boulevard de Maisonneuve et de la rue de la Montagne. Par sa musique électrisante, son énergie et sa générosité, Duke Squad a littéralement soulever le party !Jack, le chanteur du groupe explique: «On a été très heureux d’être approché par Coca-Cola pour le volet montréalais de ces fêtes qui vont se tenir au Canada et ailleurs dans le monde. Et je peux vous dire que ça va vraiment être la fête à Montréal, avec un spectacle qui va durer une bonne cinquantaine de minutes au moins.»


Pour ceux qui avaient une petite soif, l'équipe de Coca-Cola distribuait gratuitement des rafraichissement dans les fameuses bouteilles en vitre ! Les sportifs ont pu assister à une présentation assez impressionnante de joueurs de soccer qui maniaient le ballon de manière incroyable! Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié la prestation du groupe de breakdancers et leur attitude déjantée ! Des prix de présences étaient également distribués de façon originale au grand bonheur des spectateurs et des curieux !


Coca-Cola a véritablement réussi cette fête et son nouveau mandat: propager le bonheur!

Pour ceux qui ne pouvait assister aux concerts en personne, les spectacles ont été diffusé en temps réel partout au Canada sur le site http://www.icoke.ca/.

Voici quelques photos de l'événement!










Petit séance de gym...



Une petite séance de gym, une petite séance de mise en forme... un petit rondade flick back !

Oumayma









Belle Oumayma, merci pour tes photographies...

Rentrée Montréalaise de Cathy Gauthier

C’est le 18 mars dernier au Monument National que Cathy Gauthier présentait pour la première fois son tout nouveau spectacle Cathy Gauthier Décoiffe. Le 4 mars, l’humoriste écrivait sur son blog « Je suis très nerveuse et excitée car ma Première arrive à grands pas… le 18 mars! Pour moi, c’est comme un accouchement j’ai hâte mais en même temps, j’ai peur… [ … ]»




Disons que Cathy Gauthier Décoiffe c’est un accouchement de 90 minutes, surprenant, énergique, bruyant et très réussi. Elle arrive d’abord suspendue à un des lustres de son décor (très chic !) dans une robe à paillettes qui lui a valu quelques sifflements admiratifs ! Il faut dire que Cathy Gauthier est vraiment très sexy, un « truckeur crotté pris dans le corps de mini-fée » pour reprendre ses mots exacts.



Dans son deuxième spectacle, l’humoriste parle de divers sujets qui lui tiennent à cœur. Elle débute d’abord par une imitation chantée de son idole Céline Dion, « Céline est trop fine, René l’a bien élevé ». Déjà ça commence bien, qui se plaindrait de voir Cathy Gauthier se trémousser les fesses et se remonter les seins sur scènes ? Personnes à ma connaissance ! Elle continue son « stand-up comique » avec le refus de porter le titre insultant de « Madame » et encore moins de « P’tite Madame ». «Une madame, ça se pense cochonne quand elle chante Provocante dans un Karaoké, une madame, ça ne se fait pas bronzer, ça se fait griller ». Pire encore, « une p'tite madame, ça pense encore que Michel Louvain est aux femmes » !! Un humour qui frappe fort, mais qui est malheureusement souvent véridique. Le plus drôle par rapport à ce numéro c’est que Cathy Gauthier a avoué en entrevue que malgré elle, elle était une vraie « madame » et que les exemples étaient tirés de sa vie et de celle de sa mère!




Elle évoque par la suite la question du langage et des hormones chez les adolescents en prenant exemple sur un jeune de la salle, Dominique, 16 ans. Je dois avouer qu’être à la place de Dominique j’aurais été bien gêné d’être représenté en éjaculateur précoce toujours bandé! Toutefois, il ne faut pas oublier que c’est le style de Cathy Gauthier, un humour vicieux et bien baveux, « laisse faire la tendresse et passe-moi ta langue entre les fesses», mais qui fonctionne totalement auprès du public.

Avec l’aide de Rémi Bellerive à la mise en scène et de François Avard à la script-édition, Cathy Gautier livre un spectacle savoureux qui n’est pas recommandé aux oreilles sensibles. Peu importe les sujets quotidiens abordés, comme sa hantise des « hommes roses », les comportements amoureux excessifs envers les animaux de compagnies, une « date » avec un « border-nain » qui tourne mal ou encore une visite dans un sex-shop, Cathy Gauthier dose toujours efficacement ses blagues et tombe toujours pile.

Canicule d'un printemps

Vous connaissez Patrick St-Arnaud ? Patrick est un ami et un photographe de talent. En avril dernier, je suis allée sur un de ses shootings dans un magnifique verger au Mont Saint-Hilaire. Le temps était doux et léger, parfait pour une séance photo avec Raphaëlle de l'agence Montage.


En allant sur ce shooting, j'ai découvert les différentes facettes du métier de photographe et celui de mannequin par le fait même, mais j'ai surtout découvert la ligne directrice de mon blog. Il m'a fallu un peu de temps (beaucoup à vrai dire !) pour mettre en place mes idées, mes concepts et trouver le moyen de faire celui-ci. Dans les prochaines semaines, j'assisterai à différent shooting et j'en organiserai également mais je tenais absolument à vous faire part de celui-ci. Les photos sont divine, Raphaëlle est à couper le souffle. De plus, j'ai participer au making of...j'était derrière la caméra, à filmer Patrick en action ainsi que la modèle.

J'ai fait pour Soundbeat mag un article sur la séance photo ainsi qu'une entrevue avec Patrick sur son métier de photographe. Je vous invite à lire les deux articles, qui selon moi sont assez intéressant de point de vue création. Patrick nous livre son cheminement, ses inspirations et quelques secrets....vous pouvez la lire ici.

Enjoy !

«
L’autre jour, je pensais aux petites choses de la vie qui vous rendent heureux. Celles qui sont minimes ou banales mais qui vous emplissent de joies. Pour ma part, un peu de crème glacée au chocolat de chez Madame Pompon me redonne à coup sûr le sourire ou le multiplie par 10 dépendamment de la situation!

Cependant, le 5 avril dernier, j’ai découvert qu’il n’y avait pas seulement que le chocolat ou encore la crème glacée qui pouvaient me rendre heureuse. Une légère brise, une robe fluide en dentelle blanche, quelques pommiers et un canapé fleuri m’ont véritablement comblé en ce début d’avril! Je vous entends déjà vous exclamez «mais elle est folle celle-là!». Non, non chers lecteurs, détrompez-vous ! En cette magnifique journée d’avril, j’ai découvert le talent de Patrick St-Arnaud, photographe professionnel et de la sublime (et le mot est faible!) Raphaëlle de l’agence Montage.»

Denis Gagnon - Le film



J’avoue, malgré mon amour inconditionnel pour la mode (et les souliers!), je n’ai assisté à aucuns défilés de la 18e semaine de Mode de Montréal. Réel sacrilège pour toutes fashionistas qui se respectent me direz-vous…j’avoue, j’ai honte! Toutefois, j’ai la nette impression que le 28e festival international du film sur l’art www.artfifa.com me réconciliera avec moi-même. Le 21 mars prochain à 18h30, j’assisterai sans faute à la première mondiale du film documentaire intitulé Je m’appelle Denis Gagnon.


Pour célébrer ses 10 ans de carrière, le designer québécois qu’on surnomme « l’enfant terrible de la mode canadienne » a permis au réalisateur Khoa Lê et à la production MONSIEURMONSIEUR FILMS d’entrer dans son univers et de présenter au monde entier le personnage complexe qui se cache derrière ses énormes lunettes noires. C’est de manière intimiste que les multiples facettes de l’homme et de l’artiste sont présentées aux spectateurs et non comme une simple chronique d’une icône de mode. Je m’appelle Denis Gagnon nous plonge au cœur des préoccupations, des perceptions et des inspirations du créateur. Denis Gagnon accepte de dévoiler son univers unique emplis de paillettes, de jersey et de cuir et de livrer une partie de sa vie personnelle aux spectateurs.


Tout au long de sa carrière, Denis Gagnon a su être inventif et surpasser les attentes des critiques et des fans. Je m’appelle Denis Gagnon sera selon moi, fidèle à la réputation du designer : simplement brillant!



Trailer JE M'APPELLE DENIS GAGNON from Khoa Lê on Vimeo.

Dress to Kill



Vous connaissez l’expression « Always Dress to Kill » ?! Plusieurs blogs modes l’utilisent à souhait et ces quelques mots sont un réel mode de vie pour bien des « fashionistas ». Lorsque j’ai appris qu’il y avait un magazine québécois qui se nommait Dress to Kill, je m’y suis tout de suite intéressée parce qu’avec un nom comme celui-ci, qui sonne vraiment « high fashion », ça ne pouvait qu’être vraiment…innovateur. Intuition féminine sans doute!


Pour en apprendre davantage sur ce magazine de mode indépendant, je me suis rendue le 24 mars dernier au restaurant Buonanotte sur le boulevard Saint-Laurent à Montréal pour le lancement de leur numéro du printemps. L’ambiance feutrée du restaurant et les invités (vraiment fashion!), pour la plus part de l’industrie de la mode, rendaient l’événement bien privé!


Malgré un cercle clos de personnalités, j’ai beaucoup aimé l’endroit, les rencontres que j’y ai faits et les informations que j’y ai recueillies. Dress to Kill avec son nom à connotation violente a pour mission de provoquer et non de charmer comme les autres magazines québécois. « Son visuel est très pointu, très marginal et cela s’explique par l’absolue liberté créative dont jouissent les photographes de la revue » explique Stéphane Le Duc rédacteur en chef. Généralement, Dress to Kill cible des talents émergents et originaux puisque la mode est un monde très innovateur, qui « choc » beaucoup. Les passionnés de mode du Québec (dont moi!) en sont ravis! Enfin, un magazine qui ose! La revue est tirée à 20 000 exemplaires quatre fois par année soit à chacune des saisons. Vous pourrez le retrouvé dans les restaurants, hôtels et clubs branchés de la province tout comme dans les pharmacies. Son contenu, principalement consacré à la mode québécoise porte également sur la musique, les arts et le design. Vraiment, Dress to Kill nous inspire!


Ce qui retiendra votre attention dans le numéro du printemps, l’édito Mode « Head in the clouds » qui selon moi est simplement magnifique ainsi que celui intitulé « Being Bold » entièrement masculin! J’aime également la brève mais complète section « Runway Report » qui nous informe sur les tendances actuelles des podiums ainsi que l’article « Glitter on the Rock » par Karine Tremblay, très années 70. Bref, I Love Dress to Kill !


Vous êtes perplexe face à la marginalité du magazine Dress to Kill, visionnez le « making of » d’un shooting antérieur ici : http://www.shootstudio.ca/video/magazine-dress-to-kill