Vous connaissez l’expression « Always Dress to Kill » ?! Plusieurs blogs modes l’utilisent à souhait et ces quelques mots sont un réel mode de vie pour bien des « fashionistas ». Lorsque j’ai appris qu’il y avait un magazine québécois qui se nommait Dress to Kill, je m’y suis tout de suite intéressée parce qu’avec un nom comme celui-ci, qui sonne vraiment « high fashion », ça ne pouvait qu’être vraiment…innovateur. Intuition féminine sans doute!
Pour en apprendre davantage sur ce magazine de mode indépendant, je me suis rendue le 24 mars dernier au restaurant Buonanotte sur le boulevard Saint-Laurent à Montréal pour le lancement de leur numéro du printemps. L’ambiance feutrée du restaurant et les invités (vraiment fashion!), pour la plus part de l’industrie de la mode, rendaient l’événement bien privé!
Malgré un cercle clos de personnalités, j’ai beaucoup aimé l’endroit, les rencontres que j’y ai faits et les informations que j’y ai recueillies. Dress to Kill avec son nom à connotation violente a pour mission de provoquer et non de charmer comme les autres magazines québécois. « Son visuel est très pointu, très marginal et cela s’explique par l’absolue liberté créative dont jouissent les photographes de la revue » explique Stéphane Le Duc rédacteur en chef. Généralement, Dress to Kill cible des talents émergents et originaux puisque la mode est un monde très innovateur, qui « choc » beaucoup. Les passionnés de mode du Québec (dont moi!) en sont ravis! Enfin, un magazine qui ose! La revue est tirée à 20 000 exemplaires quatre fois par année soit à chacune des saisons. Vous pourrez le retrouvé dans les restaurants, hôtels et clubs branchés de la province tout comme dans les pharmacies. Son contenu, principalement consacré à la mode québécoise porte également sur la musique, les arts et le design. Vraiment, Dress to Kill nous inspire!
Ce qui retiendra votre attention dans le numéro du printemps, l’édito Mode « Head in the clouds » qui selon moi est simplement magnifique ainsi que celui intitulé « Being Bold » entièrement masculin! J’aime également la brève mais complète section « Runway Report » qui nous informe sur les tendances actuelles des podiums ainsi que l’article « Glitter on the Rock » par Karine Tremblay, très années 70. Bref, I Love Dress to Kill !
Vous êtes perplexe face à la marginalité du magazine Dress to Kill, visionnez le « making of » d’un shooting antérieur ici : http://www.shootstudio.ca/video/magazine-dress-to-kill
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